Il y a 30 ans, nous avons créé Réseau D.E.S. France car :
- nous souhaitions être informés des conséquences du DES pour en limiter la gravité.
- Nous souhaitions diffuser l’information des conséquences du DES à un public plus large (dont les professionnels…).
Aujourd’hui nous sommes confrontés à des conséquences médicales en pleine évolution.
Cloé Rivière et Juliette Bouquet ont réalisé cette vidéo dans le cadre d’un travail universitaire demandé en Master 1 Droit de la santé, à la Faculté de droit de Nancy.
Exceptionnellement, nous diffusons ici l'éditorial d'Anne, qu'habituellement seuls les destinataires de La Lettre peuvent lire.
Au delà de l'appel lancé, Anne revient sur les origines de son engagement à faire connaitre les conséquences du DES.
Ces recherches nous permettent d'être informés "à l'avance" des conséquences du DES. Signez la pétition visant à soutenir la résolution déposée au Congrès américain par le Député Jim McGover.
Aux étudiants les étudiants en 3ème année de médecine s'etaient joints les internes et externes (medecins et pharmaciens) en stage au centre de pharmacovigilance et d'information sur le médicament.
Le Procès-Verbal de notre dernière Assemblée Générale est en ligne. Il est composé de diapositives projetées lors de notre réunion, complétées de précisions.
Mercredi 4 décembre, de 18h à 19h30, avec l'intervention du Pr Michel Tournaire
Inscrivez-vous dès aujourd'hui !
Pour nous aider à mieux vous répondre, posez nous vos questions en amont, en utilisant la fiche contact du site internet.
Invitées par le Dr Damase-Michel, le 19 septembre 2024, Anne, Myriam, Nathalie Tifenn et Valérie sont intervenues par visioconférence devant des étudiants Toulousains en Master 2 de pharmacologie.
Prenez soin de vous, prenez rendez-vous !
Et si besoin, apportez en consultation le résumé de notre Guide Pratique, en précisant au médecin ou à la sage-femme que vous êtes une femme "rare"… 😉
L'article s'appuie sur une interview d'Anne Levadou : "Nous voulions des réponses." (...)."Je ne pensais pas que, 30 ans après, l'association existerait encore. Car l'histoire du Distilbène s'écrit toujours."
Le 8 mars 2024, Anne, Myriam, Nathalie, Tifenn et Valérie sont intervenues devant les étudiants du Dr Damase-Michel.
Des réactions : les mots qui reviennent le plus souvent sont "merci" et "continuez à mener vos actions, à intervenir auprès des étudiants".
Quelques-uns des retours des étudiants :